L’influence des parents sur notre vie : la « mère poule »

La majorité des femmes ont un instinct protecteur envers leurs enfants. Je ne dis pas « toutes » les femmes, car je me suis rendue compte, au fil des séances, que ce qui me semblait « normal », autrement dit, protéger ses enfants, n’est ou n’a pas été l’attitude de toutes les mères des personnes que j’ai reçues.

A contrario, certaines mamans sont très protectrices … voir … trop !

C’est ce que l’on peut appeler une « mère poule ». Cette expression a vu le jour au cours du XIXe siècle et s’appuie sur l’image de la poule qui veille jalousement sur ses petits et n’hésite pas à attaquer si on les approche.

Ces femmes agissent, bien entendu, pour le bien de leurs enfants. Elles veillent à ce qu’ils ne manquent de rien, à ce qu’ils ne soient pas agressés par les choses de la vie, à ce qu’ils grandissent dans un cocon. Elles prennent les meilleures décisions pour eux …

Résultats sur l’enfant devenu adulte ?

Un individu qui n’a pas de relation adulte-adulte avec sa mère et qui reste dans une relation enfant-mère.

Ce type de relation peut provoquer des peurs d’avancer seul, de prendre des décisions et de les assumer, des blocages pour choisir son chemin selon ses envies et ses ressentis.

L’adulte-enfant peut avoir tellement besoin de faire plaisir à sa maman qu’il peut choisir de suivre les voies (études, métiers, partenaires…) qu’elle a choisi pour lui.

Et quelques années plus tard, si les chemins n’ont pas été librement choisis, des insatisfactions profondes peuvent resurgir sous différentes formes : mal être, colère, douleurs psychosomatiques ou sensation d’être lesté par quelque chose d’invisible qui empêche d’avancer.

Chaque individu doit pouvoir être en capacité d’exercer son libre arbitre. Certes, les grandes lignes de notre vie sont tracées mais le comportement que l’on adopte et la manière dont nous les appréhendons peuvent être bien différents selon le mode de formatage auquel nous avons été soumis depuis l’enfance.

Lorsque ce genre de relation est trouvé, c’est qu’elle lui pose des difficultés latentes dans son quotidien, sans forcément savoir qu’elles viennent de là.

La solution ? il est possible, si la personne le souhaite bien évidemment, d’agir sur le lien trop fort qui a été créé par un exercice de visualisation.

Je ne sais jamais à l’avance en quoi il va consister vu que le cheminement à imaginer m’est envoyé, de la même manière que les flash.

Je peux quand même donner un exemple non détaillé de travail qui a été fait sur 2 images visualisées : face à un miroir, se voir enfant avec sa maman qui nous tient par la main , puis adulte avec sa maman à côté mais sans lien physique…

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